Le véganisme est un mode de vie consistant à ne consommer aucun produit issu des animaux. Le véganisme découle notamment d’une conception morale et philosophique des relations entre espèces animales.
Au-delà de l’adoption d’un régime alimentaire végétalien (qui exclut la viande et le poisson, mais aussi les produits laitiers, les œufs et le miel), le véganisme exclut la consommation de tout autre produit issu des animaux, de leur exploitation ou testé sur eux (cuir, fourrure, laine, soie, cire d’abeille, cosmétiques et médicaments testés sur les animaux ou contenant des substances animales). Pour certains véganes, il exclut également l’utilisation des animaux pour les loisirs (cirques, zoos, équitation) et le travail (chiens guides, chevaux de trait, etc.).
C’est donc, une philosophie nouvelle qui explose depuis quelques années, une tendance à vouloir prendre la cause animale et en faire un système commerciale ou de lutte pour la paix.
Mais en étant vegan, a-t-on des carences ?
Il faut d’abord bien comprendre que le végétarien, le végétalien, le granivore ou le crudivore, ne sont pas forcément Végan ou végane.
Ce mot tendance du 21ème siècle naquis en 1951 et pris de l’ampleur jusqu’à aujourd’hui.
Les véganes essaient dans la mesure du possible de consommer des végétaux produit selon les principes de l’agriculture végétalienne (ou végane). Ce type d’agriculture exclut le recours à des produits animaux pour assurer la fertilité du sol, ainsi que les pesticides. Des répulsifs peuvent être utilisés pour éloigner les insectes des cultures. Dans sa consommation, il risque la carence, comme un carnivore qui ne mangerais aucun végétal.
Comme toujours, il est question d’équilibre, le bon coté des choses c’est que grâce à ce mode de vie, la vitamine B12 a été trouvé, et d’ailleurs, leur est recommandé sous forme de complément alimentaire.
Aujourd’hui , nous sommes dans un grand débat : doit-on donner ou pas un régime végétarien à la cantine ? Il est plus qu’important de s’intéresser aux différents modes d’alimentations qui existent tel que le Véganisme.
Il faut savoir également que certains oligoéléments végétaux sont, certes plus importante dans un nombre réduit d’espace, comme par exemple les orties ou les épinards qui contiennent énormément de fer comparer à la viande, mais, la forme moléculaire du fer contenue dans l’épinard, n’est pas aussi assimilable par notre corps que si nous mangions une simple viande rouge avec peu de fer.
La créatine contribue à former un réservoir d’énergie dans les cellules. Des études montrent que les végétariens ont une carence de créatine, ce qui a des effets néfastes sur le fonctionnement musculaire et cérébral.
La testostérone est également essentielle à l’homme pour ne pas devenir « un légume » et les végétariens en manque énormément.
Mais allons voir du coté de la viande:
La viande, lorsqu’elle est cuite (au barbecue surtout), présente des taux très élevés de molécule cancérigène, n’oubliez pas le scandale de la charcuterie il y a quelques mois. Elle a été classée comme cancérigène.
Les personnes de moins de 65 ans qui mangent beaucoup de viande, d’œufs et de produits laitiers sont quatre fois plus susceptibles de mourir ou de développer du diabète selon les résultats d’une étude de l’Université de Californie du Sud.
Dans nos régions, (Alsace Lorraine) le taux de cholestérol de surcharge pondérale ou même de d’AVC ou caillot dans le sang sont beaucoup plus nombreux que dans le reste de la France car nous mangeons trop gras.
Le suicide est également une cause que nous pouvons relier dans certains cas au régime animal….
Mais le végan, ce n’est pas que l’alimentation, c’est également:
Les Vêtements
Les véganes ne portent pas de vêtements d’origine animale (cuir, fourrure, soie, laine, alpaga, cachemire, etc.).
La Cosmétique
Un produit cosmétique végane ne doit pas avoir été testé sur les animaux et ne doit contenir aucun ingrédient d’origine animale ni avoir induit l’utilisation d’un animal. Les produits cosmétiques testés sur des animaux après le 11 mars 2013 sont interdits de vente dans l’Union européenne.
l’Antispécisme et bien-être animal
Inventé par un psychologue végétarien qui a dirigé la RSPCA (Richard Ryder), l’antispécisme est une notion qui date de 197024. Ryder propose principalement d’épargner les espèces qui sont capables de ressentir de la douleur, un critère qui serait, selon lui, plus rationnel que la simple appartenance à une autre espèce que la nôtre.
Les campagnes de « bien-être animal » sont soutenues sans réserve par Peter Singer dans cet ouvrage, expliquant notamment que le plaisir de consommer les produits d’origine animale serait insuffisant pour justifier la souffrance infligée aux animaux (utilitarisme). Ces considérations peuvent avoir aidé les nombreux lecteurs à considérer le végétarisme et le véganisme comme autant de solutions potentielles, bien que la seule prise en considération du « bien-être animal » puisse se borner à ce que les animaux ne souffrent pas dans leurs élevages, ni lorsqu’ils sont transportés ou mis à mort.
l’Abolitionnisme et réformisme
Plusieurs approches militantes s’opposent. Le réformisme consiste à travailler pour que les conditions d’élevage, de transport et d’abattage s’améliorent, en s’appuyant sur la notion de « bien-être animal ». Certains antispécistes voient dans l’approche réformiste un moyen de faire avancer la cause animale.
Donc au final, être végan c’est bien ou pas?
Comme pour tout dans la vie, les extrêmes ne sont jamais bon. Cette forme de philosophie est née très certainement pour contrer un autre extrême, forme de philosophie afin d’équilibrer et faire fonctionner la machine.
Il faut de tout pour faire un monde, et c’est bien grâce à cela que nous sommes en vie. De plus, à chaque étape de notre vie, nous passons des stades importants qui nous permettent de faire des expériences humaines d’ampleur. Aussi, une personne de 65 ans n’aura pas les mêmes besoins alimentaires qu’une personne de 30, une personne âgée, suivant son environnement et son époque, n’aura pas les mêmes carences qu’une autre personne âgée dans un autre environnement. Et ainsi de suite,
Il n’y a pas une seule manière de manger pour tout le monde.
Nous sommes tous différents et ce qui marche pour quelqu’un ne marche pas nécessairement pour tout le monde.
C’est pour cela que vous êtes unique, et que je vous préconise à chacun le régime en fonction de l’énergie qui vous façonne.
Si vous avez besoin de conseil plus personnalisé, n’hésitez pas à joindre l’ÂMC (guardian of your energy)
michael.conti@sfr.fr
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